Encore et toujours prisonnière ! [PV : Carcasse]

Aujourd'hui le soleil était haut dans le ciel. Les rayons de soleil illuminait le Champ de Fleurs. C'était magnifique à voir. Et le vent lui, était doux et calme. Agréable à supporter. Moi, Loba, j'étais assise là parmis ces millions de petite fleurs. Je me suis couché sur le dos, mon ventre se dévoilait au soleil. J'étais si bien... J'ai tourné la tête vers ses grandes montagnes. Je savais que si j'y allais de nouveau j'aurais de grand ennuis... Mais je voulais voir les Hauts Plateaux et encore la Rivière dont parle toute les meutes. Je me demande se que fessait les assassins... Sa devrait pas être cool de vivre dans un endroit aussi sinistre... Je me suis relevé les oreilles en avant. J'ai fixé ses grandes montagnes jusqu'à voir une ombre qui grandissait de plus en plus. J'ai ouvert attentivement les yeux et j'ai humé l'air. C'était Carcasse.

Le soleil se levait mais la pluie se fessait rage. J'ai remarqué que le chef dormait encore. Je repenssais à ce qui s'était passé il y a une semaine : avec Loba et Rêve. J'ai grogné : Je veux que Loba meurt ! Je me suis approché du chef qui s'était réveillé à cause des goutelettes qui se cognaient sur son dos. Je lui ai dis :


Voyant que le chef était d'accord, je suis allé prendre une pièce sur le tas de gibier avant de la manger et de m'en aller. J'ai traversé les montagnes facilement grâce à mon habitude. J'ai remarqué une ombre qui s'amusait parmis les petite fleur du Champ. Je me suis approché reconnaissant Loba. Elle m'avait aussi remarqué et reconnut mais je m'en fichais. J'ai foncé droit sur elle et je l'ai plaqué pour lui mordre le cou et lui griffe les yeux. Elle se déffendait bien pour une solitaire ! Je l'ai éjecté sur un petit rocher sur le coté et elle c'est assomé. Fière de moi je suis rentré, la femelle entre les crocs.

Quand Carcasse m'avait foncé dessus, j'ai eus la peur de ma vie. Je me suis débattue comme un diable mais en vain. J'ai commencé à hurler espérant que Rêve m'entende mais celle-ci était surment en train de dormir. Comprenant que j'étais seul, je me suis déffendus en lui griffant le museau. Mais trop tard : il m'avait éjecté sur une petite roche qui m'a assomé à coeur joie. Je me suis endormis avec douleurs, dans un profond sommeil.